Le Gouvernement adresse ses sincères condoléances à la famille du regretté international gabonais Aaron Boupendza, ainsi qu’à l’ensemble de la communauté du football gabonais.
En cette douloureuse épreuve, la Nation s’incline avec respect devant la mémoire d’un athlète d’exception qui a su faire rayonner le Gabon sur les terrains du monde entier.
En marge des Réunions de Printemps du FMI et de la Banque mondiale à Washington, j’ai eu l’opportunité, avec mon collègue Charles M’ba, Ministre des Comptes Publics et de la Dette, de mener une série de rencontres stratégiques avec nos partenaires techniques et financiers afin de consolider l’engagement du Gabon sur la voie de la transformation économique et d’annoncer le retour aux affaires du Gabon sur la scène internationale.
J’ai notamment échangé avec :
– M. Nigel Clark, Directeur Général Adjoint du Fonds Monétaire International (FMI);
– M. Ousmane Diagana, Vice-Président de la Banque Mondiale pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre ;
– M. Abebe Aemro Selassie, Directeur du Département Afrique du Fonds Monétaire International ;
– M. Ethiopis Tafara, Vice-Président de la Société Financière Internationale (SFI) pour l’Afrique ;
– M. Leslie Maasdorp, Président du British international Investment (BII) ;
– M. Claver Gatete, Secrétaire Exécutif de la Commission Economique pour l’Afrique ;
– M. Harold Tavares, Administrateur du Groupe Afrique II ;
– M. Bertrand Dumont, Directeur Général du Trésor français ;
– M. Mateo Goldman, Vice Président Sénior, United States Development Finance Corporation (US-DFC) ;
– Les équipes de JP Morgan, Citigroup, Deutsche Bank, Lazard, et Rotschild, notre conseil ;
– Le Département des finances publiques du FMI.
Durant ces échanges, j’ai présenté la situation macroéconomique du Gabon et donné des perspectives en matière de réformes, de priorités de développement, et de besoins en investissements pour accélérer la croissance et améliorer les conditions de vie des populations.
Je tiens à remercier mon collègue, mes collaborateurs du ministère de l’Économie et des Participations, et les partenaires pour leur écoute, pour la richesse de nos échanges, ainsi que la confiance renouvelée dans la vision économique portée par le Chef de l’État, Son Excellence Brice Clotaire Oligui Nguema et l’ensemble des membres du Gouvernement.
Ensemble, transformons le potentiel du Gabon en une réalité !
Dans le cadre de la préparation de la loi de finance 2026, du Plan National de croissance et de développement (PNCD), le Gouvernement par l’entremise du Ministère de l’Économie, des Finances, de la Dette et des Participations, en charge de la Lutte contre la Vie Chère, a initié ce vendredi 25 juillet 2025, une importante série de consultations avec les entreprises, les universitaires, les experts, les financiers et les partenaires au développement à l’hôtel Radisson Blu, à Libreville.
Sous le thème « Quelle stratégie de financement pour assurer une croissance forte ? ». Ces échanges d’une haute importance, ont permis de recueillir des recommandations en réponse au défis du pays sur les plans économique et budgétaire.
En effet, la mise en œuvre du PNCD est chiffrée à 10.000 milliards de francs CFA. Les partenaires au développement et les financiers ont un rôle majeur à jouer, en accompagnant le Gabon à travers trois (3) leviers dont :
– Les instruments financiers à proposer pour soutenir nos réformes structurelles et appuyer les investissements prioritaires.
– Les dispositifs incitatifs pour catalyser l’investissement, en particulier dans les secteurs stratégiques (BTP, Agroalimentaire, transport, pétrole, gaz etc .)
– Les conditions d’accès et les modalités opérationnelles de leurs appuis, dans le contexte actuel marqué par de fortes contraintes de financement et d’efficacité.
Cette rencontre s’aligne dans le piler 5 » Économie et Développement Durable » porté par le Chef de l’État, Chef du Gouvernement, S.E Brice Clotaire Oligui Nguema qui vise à accélérer la transformation structurelle de notre économie et de bâtir une croissance saine, durable, inclusive et souveraine avec un niveau de croissance de 10%.