Le nouveau code électoral au Gabon suscite de nombreuses questions parmi les usagers, en raison de ses réformes et de ses implications sur les processus électoraux. Les éléments de réponse doivent être clairs et accessibles, afin d’expliquer les changements apportés.
Le 25 février 2025, la Ministre de la Culture et des Arts, Dr Armande LONGO Épouse MOULENGUI, a ouvert un atelier sous-régional de renforcement des capacités des pays d’Afrique Centrale sur la ratification et la mise en œuvre de la Convention de la Haye de 1954 et de ses deux protocoles (1954 et 1999), concernant la protection des biens culturels en période de conflit armé ou d’occupation.
Durant trois jours, civils et militaires, ainsi que les Forces de Défense et de Sécurité, se réuniront avec des professionnels du patrimoine pour élaborer une stratégie commune et concertée pour la protection des biens culturels en temps de paix, en cas de conflits, et dans les périodes post-conflit.
Le Gabon, modèle de la sous-région, est le premier pays à avoir ratifié la Convention de l’UNESCO en 2022. Le pays partage son expérience avec ses voisins.
Le Gabon dispose également de deux cadres réglementaires pour la protection des biens culturels.
Ce projet prévoit la construction d’une unité de production d’énergie d’une capacité de 14 mégawatts, fondée sur la transformation des déchets ménagers en énergie. Il répond à un double enjeu : réduire le déficit énergétique du Grand Libreville tout en traitant durablement les déchets urbains par leur transformation en ressource énergétique.
En retour, le Ministre de l’Environnement a salué la pertinence de cette démarche, qu’il considère comme une réponse concrète au double enjeu du déficit énergétique et de la gestion durable des déchets. Il a insisté sur le potentiel de la future centrale à alimenter plusieurs zones de Libreville et de ses environs, contribuant ainsi à sécuriser l’approvisionnement électrique du Grand Libreville.
Cependant, le Membre du Gouvernement a préconisé l’ouverture de concertations avec les autorités compétentes en charge de la collecte et du traitement des déchets à Libreville, étape indispensable avant tout accompagnement du Ministère de l’Environnement dans la phase opérationnelle du projet.